Vol.1

 

LA SAINTE ETHIQUE

 

 

 

Règles d’usage de la matière synthétique

 

 

Dr William Théaux


 

 

 


 

LA SAINTE ETHIQUE

 

Dr William Théaux

 

Est médecin psychiatre au Puy en Velay, Haute-Loire 4300 France.

Il est Ancien Interne des Hôpitaux Psychiatriques de la Région Parisienne.

De 1980 à 1990 il a fondé l’Analyse Plurielle à Lyon en l’Association loi 1901 : UNEFPE – Une Fonction Psychanalytique.

De 1990 à 2000 il a présenté ses travaux à l’étranger et fondé à New York la première organisation civile de préservation de la mémoire génétique humaine.

De 2000 à 2010 il expose en France, au Puy en Velay, les nécessités écologiques de la préservation de la mémoire humaine.


 

 


 

 

 

 

LA SAINTE ETHIQUE

 

Règles d’usage de la matière synthétique

 

Dr William Théaux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Publication PsyBakh

 


PsyBakh

 

PsyBakh est une Association 1901 consacrée à la préservation de la mémoire dans la perspective de l’écologie.

 

PsyBakh répond aux règles cybernétiques des relations et de leur contrôle entre les organismes vivants et les machines. Elle y ajoute la notion que le psychisme est l’interface qui matérialise ces relations.

En 1900 L’Inconscient est la première intuition de cette relation. La préservation génétique en est la concrétisation en 2000.

 

PsyBakh est partenaire de Cyberontime pour la technologie de la préservation.

PsyBakh est éditeur de l’expression théorique de la préservation de la génétique humaine.

 

 

 

 

La Sainte Ethique est un label déposé. Il réclame qu’une psychanalyse scientifique garantit l’humanité au cours de la métamorphose technologique de l’écosystème.

 

 

 

 

Couverture graph :Station Z.Xin LAPREFLEXION / PSO

Ed. UNEFPE 1989 ISBN 2-907878-04-2

 

 


Préface au Livre.1

 

Comme initialement le Chapitre 1 seul, la présente compilation des Chapitres 1 & 2 constitue un ouvrage autonome.

Il décrit l’unité agent de la psychanalyse ( un chiffre ‘ D2V ‘ ) et ajoute la description de son épidémiologie, achevant l’inscription intégrale de la psychanalyse dans l’histoire sociale. Il ne s’agit pas d’une mode au cours du temps mais d’un moment de la mise en règle du monde par la cybernétique, autrement dit par l’Intelligence Artificielle, autrement dit encore, par l’informatique.

Tel n’est pas encore dit l’objet de la psychanalyse ; on peut décrire un microbe et son épidémie dans décrire comment le corps en est affecté. Mais pour cette raison, exclue la manière dont le corps s’en affecte, c’est l’essentiel d’une maladie – que Freud appela la peste – que ces deux chapitres cernent et objectivent.

 

Deux éléments trouve cette préface pour s’expliquer ; l’un concerne un fait symptomatique avant la conception de l’ouvrage, l’autre une information survenue après elle. Je commence par ce dernier :

Au cours de ces deux chapitres j’énumère des symptômes, des trous physiologiques dans un fonctionnement normal, au cœur même de la Psychanalyse. Comme les pulmonaires cavernes évocatrices du diagnostique de tuberculose logent des bacilles, des lacunes dans la Psychanalyse logent le D2V quand il rend malade. J’en mentionne quatre laissant en suspens la quatrième : le refoulement de la réalité historique. Or quelques semaines après l’avoir écrit, de précis résultats archéologiques ont été annoncés puis publiés, qui tombent dans le mille de cette caverne laissée creuse

Destinés à ces autres chapitres que j’annonçais, ils occuperont donc une place préparée

Un lapsus est ce symptôme préposé, il dénote cette préparation, comme un chiffon dit « je nettoie » :

La première édition du livre affichait une coquille à l’impression de son titre : le D2V n’était pas imprimé ‘chiffre’ – mais ‘chiffe’. Comme si le chiffre D2V était un chiffon, une chiffe, mauvaise étoffe.

Je ne croyais pas si bien dire en préambule à la confirmation de la peste ; c’est pourquoi circonscrit aux deux premiers chapitres, je garderai le lapsus ; il s’agit de la Psychanalyse qui s’en tient là.

C’est après que la maladie ait passé le chiffon sur nos fautes passées, qu’on peut faire du chiffre l’étendard de la guérison. Je le brandirai au 3em livre qui aura attaqué la maladie du corps social.

 

DWT 2010-02-24


 

 

 

 

 

LA SAINTE ETHIQUE

Livre.1


Préface au Chap1 Version 1 (V1C1)

 

Le présent ouvrage composé en janvier 2010 est autonome.

Il décrit et démontre l’existence d’un phénomène actif et objectif qui constitue l’agent de la psychanalyse.

Durant un siècle le facteur d’effet de cette pratique instaurée à partir de Vienne/Europe en 1900 a été considéré comme un élément psychologique dénommé ‘transfert’. Cette notion a servi d’alibi de développement, d’extension et de propagation de la Psychanalyse.

A partir des années 2000, les neuro-sciences et la cybernétique ont révélé avec une meilleure précision les mécanismes en action dans la méthode viennoise. Elles ont mis en évidence à sa cause un facteur purement organique, neurologique et somatique.

Ce facteur avait été déjà identifié et presque décrit par la psychiatrie française jusqu’à ce qu’à partir de 1950 elle s’éteigne sous l’influence des notions anglo-saxones. La redécouverte de l’agent actif de la psychanalyse à partir de 2000 confirme et restitue la psychiatrie française et sa théorie de l’époque nommée organicisme.

Actuellement ce facteur causal qui rétablit l’organicisme est désigné, dans le présent ouvrage, en terme d’un chiffre (D2V).

 

En entrant définitivement dans le domaine scientifique, la psychanalyse s’affilie à une éthique qui règle l’écologie. Dans la mesure où elle y contribue en maintenant l’espèce humaine dans cette écologie, elle constitue la part Sainte de cette Ethique.

Elle porte ce nom à double titre, car au rôle de cette sainte Ethique consiste l’adaptation réciproque de l’industrie synthétique au code génétique de la personne humaine ainsi qu’à celui de sa biocénose (son environnement vivant).

 

Pour soutenir ces extrapolations, le présent ouvrage devra être complété. Il faudra particulièrement prouver ce qu’il démontre. En effet, la simple raison ne suffit pas en matière de psychologie et d’idéologie ; il faut un certain nombre d’éléments qui viennent redoubler la première étape qui reste, sans cela, uniquement intellectuelle.

 

Pour ces motifs et à cause de ces incidences concrètes, cette version de janvier 2010, sera ultérieurement amendée. En ajoutant les circonstances technologiques d’édition électronique, des modifications auront éventuellement lieu à une plus grande fréquence que ne suivront, à leur rythme plus lent les versions papier. Dans cette mesure néanmoins l’entité présente sera maintenue, sans modification essentielle qui divertirait qu’elle soit entièrement significative en constituant à elle seule la mise en évidence et l’identification du D2V.

 

DWT 20 janvier 2010

 

 

 


 

 

Pref.V1C4
Préface Livre2 – (chap3&4)

 

Au titre de DECHIFFRAGE ces chapitres complètent la théorie psychanalytique d’une métamorphose [C4-]. Si nous nous transportions dans le passé, la modification que nous y apporterions affecterait le présent dont nous serions partis – également si nous allions dans le futur ce que nous trouverions nous ferait changer notre comportement présent, et par conséquent ce futur ; ces paradoxes attisent une conscience, non pas impossible mais dynamique. Non seulement le sujet de ces voyages temporels échappe-t-il perpétuellement, mais ces fables de la Science Fiction nous permettent d’imaginer ce qui, plus proche de l’instant présent, défie notre inertie : si la psychanalyse inclut l’observateur dans la science, elle se vérifie en se métamorphosant (l’observateur objet de lui-même causant une dynamique).

Faute de l’imaginer nous y résistons mais l’histoire s’impose. Le 3em chapitre aboutit à l’objectivation du pluriel analytique d’abord causé avec/par la cybernétique– puis le 4em à l’histoire de l’analyse plurielle qui l’a précédée en l’exercice de l’Art de la Mémoire (praxis de l’Hermétisme durant le christianisme jusqu’à la Renaissance).

Cette logique du temps est le propre de celle de la pulsion (concept fondamental de la psychanalyse). Il s’agit donc d’une mémoire propre à la psychologie collective qui est vérifiée par la psychanalyse.

La scientificité de cette dernière pouvait déjà être affirmée sur la base de la robotique récente (décrite au 1er chapitre) ; à présent avec cette vérification, et par la psychanalyse, le moi est établi en sa fonction civilisatrice. De la sorte, l’analyse psychique n’est plus seulement observatrice et art de l’interprétation, mais s’ajoute à son rôle une production, voire la création.

Ce développement a révélé une forme plus complète, et plus large de la technique freudienne. La métamorphose de la psychanalyse ainsi aboutie, elle n’est plus ni exclusivement individuelle (sectatrice de la vie privée) ni exclusivement collective (totalitaire) mais psychanalyse de l’humanité.

On emploie le terme humanité pour signifier la collection de l’espèce humaine et signifiant également une qualité : ce qu’on appelle l’humanité que l’on a en soi lorsqu’on n’est pas bête. C’est l’analyse de cette seconde ‘humanité’ qui conditionne la fonction de l’intelligence.

A partir de la psychanalyse de l’humanité, l’intelligence peut être celle de prendre le parti de l’intelligence cybernétique ; revenant à elle-même.

 

 

DWT 2010-05-26

 

En note 15 : une ‘préface’ au Chap.3 écrite avant la décision de publier sous le même volume les chap.3&4